Anecdotes ou Story Time
SURNOM : On me donne régulièrement des surnoms, parfois loufoques, parfois adorables. Le premier surnom est relativement simple,
Yiyi' ou
Yih' c'est rapide simple et efficace. Certaines personnes m'appelle
chaton, pour la simple est bonne raison que je suis mignonne et que je suis généralement le genre de fille à être aussi douce de nature comme un chaton. Parfois on m'appelle aussi
J’Caïn, encore un diminutif de mes deux prénom mais celui-ci est généralement utilisé quand je passe un cap de patience bien limité et que je perds le contrôle de moi-même. Je suis généralement douce mais lorsque que l'on dépasse les limites il est vrai que l'on peut voir en moi un côté démoniaque total. Certaine personnes, comme les petits connards que l'on peut parfois croiser dans sa vie me surnomme
la victime. Pour la simple est bonne raison qu'il connaisse mon passé douloureux et qu'ils ont un ego surdimensionné alors ils pètent plus haut que leur cul et aime juste rabaisser les autres pour leur bien personnel, surement dû à une enfance ou un présent bien difficile.
HOBBIES : Je suis une grand passionnée de
photographie. J'aime beaucoup partager mes prises sur mon compte Instagram avec tout les followers que je peux avoir. Pour moi la photographie est un moyen de détente, d'oublier mon passé qui me hante chaque jour. J'aime bien prendre des photos de tout et n'importe quoi si je peux dire cela ainsi. que ce soit des photos de nature (Forêt, montagnes, champs...), des photos de personnes quand je la trouve intrigante, passionnante dans ce quel fait. Chaque photo prise on un sens à mes yeux et à mon imagination.
OBJECTIF(S) DE VIE : Mon objectif de vie est relativement simple. Je suis venue à Bangkok pour
retrouver le garçon que j’apprécie fortement et qui à vécu la même chose que moi lorsque j'étais petite. Mais à la fin de ce calvaire je n'est pas eu une seule nouvelle de lui. Aucun visuel, aucun texte, rien du tout. Et je donnerais tout mon possible pour le retrouver quoi qu'il arrive. Il me manque, il était le pilier lors de cet événement. Et je veux le remercier pour cela. On s'était promis de ne jamais se séparer et je tiendrais ma promesse quoi qu'il arrive.
AIME : J'aime plusieurs choses à vrai dire.
La photo, passion primaire de mon existence. Mais j'aime aussi
manger du chocolat, c'est mon pêché mignon. Quelle chance que j'ai de manger ce petit délice sans prendre un seul kilo en trop. Le rêve de toutes femmes et de tout hommes. Moi j'ai cette chance et je suis contente de ne pas grossir. J'aime bien
me balader tranquillement dans les parcs. Je trouve que ceci est apaisant et relaxant.
DÉTESTE : Je déteste devoir
paraître comme une bourgeoise idiote devant les gens à cause de l'histoire de ma famille auquel je suis obligé de suivre l'éducation. Mais je n'ai pas du tout le choix de faire avec. Je déteste aussi
mon enfance, un cauchemar durant plusieurs longues années que j'aimerais fortement oublier et ne jamais avoir vécu.
PHOBIE(S)/PEUR(S) : Depuis que j'ai vécu ce drame dans ma vie j'ai la phobie des espaces confinés, des lieux clos, des petites pièces et de l’enfermement. en clair je suis devenue
clautrophobe. Chaque fois que je fais une crise je me sens comme étouffée, en manque d'air et cela en devient insupportable. J'ai également la phobie du noir, bien évidement depuis l'âge de mes quinze ans, une fois sortie de cet enfer je ne peux dormir sans une petite veilleuse, j'ai l'impression d'être un minimum en sécurité, j'ai ce besoin de voir toujours ce qui se passe autour de moi, malheureusement je suis
Achluophobe. Mais ce ne sont pas les seules phobies que je possède. Je suis également
amaxophobe, j'ai peur des véhicules, de conduire, d'être dans un véhicule ou même des automobiles. Ce n'est pas drôle les phobies que j'ai engendré depuis mon enfance. Sans oublier que je suis aussi
Spélaionophobe qui est la peur des grottes et des sous-sols. Et pour terminer, je suis
Musophobe qui est la peur des souris ou des rats. Bref, en clair j'ai engendré plusieurs phobies depuis mon enfance...
LA FAMILLE Wandi : Que dire de la famille Wandi... Commençant par le début. Notre histoire de famille à débutée en 1864 lorsqu'une femme Wandi à décidé que leur rôle de bonne femme au foyer devais changer. Elle avait alors une fille nommée Hansa. Plutôt douce elle commença à se forger un caractère bien trempé afin de prendre le contrôle entier sur son mari. Sa jeune fille en question, Hansa, n'a pas eu d'autre choix que de suivre l'exemple de sa mère. Elle devait, dans l'obligation la plus totale, vouvoyer ses parents et autrui. Il était hors de question de tutoyer qui que ce soit, car pour sa mère, Yihwa, ceci était clairement un non respect total de la personne. Mais ce n'était pas tout, en plus de devoir vouvoyer tout le monde il était hors de question de les appeler par leurs prénoms. C'était donc obligatoire de les appeler par leur nom de famille. Mais ne croyez pas que c'était juste le nom de famille qui était employé, loin de là, encore un manque de respect. Il fallait absolument dire Miss ou Mister avant. Par exemple, lorsque je m'adresse à ma cousine Madee Wandi, je suis dans l'obligation et dans le devoir de l'appelé Miss Wandi. J'ai était élevé comme ceci de toute façon donc c'est devenu une habitude. Quand je m'adresse à mes parents je leur dit pas maman ou papa comme le fait la plupart des être humain normaux, je dois dire mère ou père et les vouvoyer également. Depuis les années 1864 c'est comme ça que la famille Wandi à étaient éduqué. Chaque mère donnant naissance à une fille ce doit de lui donné son nom de famille. Vous l'avez bien compris, toutes les filles de la famille du côté maternel se nomment Wandi et n'ont pas le droit d'avoir le nom de famille du père. En revanche, il est possible qu'un garçon de la famille ait également ce nom de famille. Mais ceci reste rare. Si le premier enfant né est un garçon, il faut procréer une seconde fois pour avoir une fille. Jusqu'à aujourd'hui nous n'avons jamais vu un deuxième enfant naître garçon. Une chance vous allez me dire, imaginez si au bout du cinquième c'est encore un garçon... Ma mère ne s'est pas arrêtée à son premier accouchement, bien que c'était une fille. Je suis la quatrième naissance de notre génération. Je possède deux grandes sœurs et un grand frère. Tous les quatre élevés limite dans la bourgeoisie. Cependant, je n'ai pas vécu toute mon enfance avec eux...
MON ENFANCE : Durant les sept premières années de ma vie je vivais avec ma famille, une enfance courte avec eux et magnifique. Mes parents, ou du moins ma mère, travaillent d'arrache pied pour nous élever tous les quatre histoire que nous puissions avoir la vie qu'elle a eu. Malgré ce côté un peu bourgeois si on peut dire cela ainsi, on avait tout ce qu'on voulait. Une fratrie unie et aimante, des cadeaux à chaque anniversaire, à chaque noël, des St valentin jamais seul, toujours en famille. Bref, on faisait tout ensemble. J'étais heureux pendant tout ce temps. Mais ma vie à basculé rapidement... Alors que je rentrais chez moi après l'école à l'âge de 7 ans, j'avais une impression soudaine d'être devenu aveugle... Je vis tout à coup tous noir, l'obscurité total. Je me sentais comme transporté, comme un sac à patate pendant quelques secondes avant d'être jeté dans je ne sais quoi... Une sorte de véhicule, je pouvais sentir quelque temps que l'on roulait... Je ne voyais rien... Je n'entendais rien... Je ne pouvais pas parler, je sentais une pression entre mes lèvres, comme si j'avais un tissu dans ma bouche pour éviter qu'on m'entende... Ça devait probablement discuter dans ce véhicule mais je n'étais pas certain. Je me souviens de la sensation que j'avais à ce moment-là... J'étais effrayé, tétanisé, apeuré. Je ne savais pas où j'étais et surtout pourquoi j'y étais. Après un temps interminable de trajet dans l'ignorance total je fini par être sorti de ce véhicule, toujours avec un truc dans la bouche et sur la tête... Lorsque j'ai pu apercevoir enfin quelque chose de mes propres yeux, j'étais dans une maison un peu vieillot, plus exactement dans une cave je dirais... J'étais seul, je ne savais pas quoi faire, je m’ennuyais... La solitude m'affaiblissait. La seule compagnie que je pouvais avoir c'était celle des rats qui passaient de temps en temps dans cet endroit sombre et lugubre. Pendant plusieurs jours j'attendais qu'une chose... sortir d'ici. De temps en temps j'avais un individu qui venait me rendre visite dans cet cave afin de m'offrir un gobelet rempli d'eau, et un morceau de pain rassie... J'étais affamé, mais ce petit morceaux de pain et ce gobelet d'eau me permettait de survivre chaque jour de mon kidnapping... Je dormais par terre, contre le sol, sans couverture ni rien, juste mes habits, qui était changé deux fois par ans... Car une petite fille de sept ans, ça grandit... Comment je sais qu'on changé mes vêtements deux fois par an ? Tout simplement car sur le mur avec un objet étrange j'essaie de tracer chaque jour que j'était là bas par un simple trait... Et chaque fois que j'avais des vêtements nouveaux je mettais un cercle autour de ce bâton sur le mur... Jusqu'au jour où j'ai abandonné de compter... Je n'avais plus aucun espoir... Jusqu’à ce que je finisse par ne plus être seul... J'ai été rejoins par une autre personne... Un garçon, il avait probablement le même âge que moi, on faisait la même taille, c'est comme ça que j'ai pu le deviner... Je ne savais pas quel jour on était, ni même la date précise... On était séquestré tout les deux. Pendant longtemps... Très longtemps... Ses yeux sont son atout majeur de ses émotions, il a en effet un regard qui peut parfois être très mystérieux et dans tous les cas être très expressif. En fait, toutes ses émotions passent beaucoup par ses yeux, son regard, un regard désapprobateur, un regard sûr de lui, un regard moqueur... Nous étions comme les deux doigts de la main, ont étaient inséparables. On s'est promis de ne jamais se séparer. Ont avaient même inventé un langage propre à nous. Pendant toutes ces années où ont a grandi ensemble, ont c'est protégés mutuellement, et ont veillé l'un sur l'autre. Même si il me surprotégait trop, je l'adorais, je le trouvais magnifique. Il m'arrivait de lui chantonner des chansons pour l'aider à s'endormir. Ont dormaient ensemble car on n' avait clairement pas le choix. Après un temps interminable dans cette cave horrible, la police nous a retrouvés et donc séparés, je me suis rendu compte de ma dépendance envers lui. On a perdu contact. Mais j'ai quand même fini par apprendre qu'il était à Bangkok et c'est pour cette raison que j'y suis aujourd'hui. J'ai une vraie obsession pour ce garçon, mais, je ne sais pas comment se dérouleront les retrouvailles. J'ai peur qu'il m’ait oublié, alors que moi, je n'ais pas pu m'empêcher de garder des photos de lui dans ma mémoire. Je me souviens de chaque détail de son visage. Quand j'ai étais rendu à mes parents, je n'arrivais plus à parler, je restais seul dans ma chambre, mes parents était trop chambouler. Je venais d'apprendre que j'étais resté séquestré là bas durant huit longues années... J'en suis sorti à l'âge de quinze ans... J'ai perdu toute mon enfance à cause de cela... Toute la vie de ma famille, je ne les reconnaissais plus... Et eux non plus ne me reconnaissaient pas... Depuis cet événement, je ne pense qu'à lui. Il hante mon esprit. Malheureusement ont s'étaient promis de ne jamais se séparer, mais le destin en a décidé autrement. Je ferais tout pour le revoir, même si je dois traverser la terre entière. Il me manque tellement. J'ai appris qu'elle était à Bangkok, alors je vais devoir finir par habiter là bas. Pouvoir enfin voir son visage, sentir son parfum et sentir la chaleur de son corps contre le mien. Il est comme un aimant et moi le métal et me rapprocher de lui devient vital.